samedi, juin 16, 2007
mercredi, juin 06, 2007
mardi, juin 05, 2007
Nouveaux Boursiaux !
lundi, juin 04, 2007
Pantera
En 1982, Donnie Hart quitte le groupe et Terry Glaze prend le relais au micro. Le bassiste Tommy Bradford est remplacé par Rex Brown.
1983, les texans sortent leur premier album appelé « Metal Magic » et produit sur le label indépendant du père des frangins Abbott : Metal Magic Records. Le son est crade et la musique n'a rien à voir avec le Pantera que l'on connaît, il faut voir la pochette très kitsch et glam rock à mort pour savoir que c'est du Pantera (bon j'avoue que j'aime pas trop ce Pantera là). Cependant ce heavy amélioré reste bien conçu, et on peut déjà entrevoir le talent du gratteux Dimebag Darrell qui deviendra l'un des plus grand de la terre et de la soupe.
L'année suivante, les graisseux sortent « Project In The Jungle », leur deuxième album qui reste encore très glam mais qui est cependant un peu plus lourd que le premier.
Le groupe sort le troisième album « I Am The Night » en 1985 qui reste la suite logique des 2 premiers.
En 86, le chanteur Terry Glaze (appelé également Terence Lee) quitte le groupe et est remplacé par Phil Anselmo en 87 (alors là ça déconne plus, voilà le Pantera que j'aime ! Bien gras, bien lourd !). Pantera enregistre alors leur quatrième album « Power Metal » en 1988. « Power Metal » est le dernier album produit par Metal Magic Records et marque la fin de la période glam de Pantera.
Influencé par la vague montante du trash US avec des groupes comme Anthrax, Metallica, Megadeth ou encore Slayer, Pantera va radicalement changer de style et devenir véritablement un pilier du métal par la suite. En même temps, faut reconnaître qu'être inspirés par des groupes comme ceux-là, cela ne peut donner qu'une très très bonne cuvée, en l'occurence Pantera ! Repéré par le label Atco Records, Pantera signe en 1989 et largue sa première rondelle en 1990 : « Cowboys From Hell ». Le son et le style n'ont rien à voir avec les 4 CD précédent, Pantera s'exerce maintenant dans le lourd en balançant une graisse de qualité ponctué par des solos de gratte impressionnant du cowboy au chapeau (Dime, pour les non-soupard)
Pantera va alors devenir un groupe phare du milieu metal en tournant avec des groupes comme Metallica ou AC-DC notamment aux Monsters Of Rock de Moscou en 1991 ou le groupe joue en «première partie devant 500 000 chanceux et militaires de l'armée soviétique.
Dimebag Darrell
En 1994, les texans remettent ça avec la sortie de « Far Beyond Driven », album encore plus lourd et plus rapide, il se hisse en tête des charts aux Etats-Unis et en Australie. S'ensuit une énorme tournée mondiale pour le groupe.
La suite pour le groupe est la plus sombre que celui-ci ait connu, Phil Anselmo ayant de gros problèmes de drogue et d'alcool, le groupe enregistre cependant « The Great Southern Trendkill » (assez carabo), l'album le plus glauque de Pantera. Juillet 96, ce con-là d'Anselmo fait d'une overdose une heure après un concert au Texas, son cœur arrêtera de battre pendant 5 minutes. Ce qui ne fait qu'augmenter les tensions au sein du groupe.
Le groupe survit et sort un live en 1997 : « Official Live 101 Proof ».
En 2000, Pantera enregistre «Reinventing The Steel » tout aussi bien je trouve. Anselmo s'occupant de plus en plus de ses projets parallèles (Superjoint Ritual et Down) et s'entendant de moins en moins bien avec Dimebag et Vinnie Paul, Pantera décident de se séparer en 2003. Les frères Abbott montent alors le groupe Damageplan.
Le 9 décembre 2004, en plein concert de Damageplan, Dimebag Darrell est assassiné de plusieurs balles par un enculé (et je suis gentil, j'aurait pû mettre STG comme adjectif) qui apparemment réprochais à Darrell la séparation de Pantera.
Le monde du metal perd à la fois un grand guitariste, et aussi l'espoir d'une reformation de Pantera. Triste fin pour un groupe qui a su imposer un style unique dans l'univers de la soupe et ainsi devenir une des plus grandes légendes des années 90, en matière de musique.
Line-up : Phil Anselmo (chant) rien que le nom fait carabo c'est ça qui est génial avec lui !
Dimebag Darrell (guitare)
Robert Brown (basse)
Vinnie Paul (batterie)
Discogragueule :
Metal Magic - 1983
Projects In The Jungle - 1984
I Am The Night - 1985
Power Metal - 1988
Cowboys From Hell - 1990
Vulgar Display Of Power - 1992
Far Beyond Driven - 1994
The Great Southern Trendkill - 1996
Official Live-101 Proof - 1997
Reinventing The Steel - 2000
Cowboys From Hell (faut vraiment être difficile pour ne pas aimer ça...ou être tout simplement un rappeux !) :
Walk :
Revolution Is My Name :
This Love :
Cemetery Gates :
Bon jvais m'arrêter là parce qu'avec Pantera c'est comme avec Metallica, Slayer ou Maiden, on pourrait en mettre à chier partout des vidéos tellement elles sont bien !
dimanche, juin 03, 2007
Sanctity
Line-up : Jared Mc Eachern (chant et guitare)
Zeff Childress (guitare)
Derek Anderson (basse)
Jeremy London (batterie)
Discographie : Road To Bloodshed (2007) et j’espère que ça ne s’arrêtera pas là parce que j'adore ce jeune petit groupe !
Quelques photos du très bon concert à l'Elysée-Montmartre (ça à bien cayacé !)
Jared
Zeff & Derek
Pas de photos du batteur Jeremy London, regardez les vidéos suivantes pour le voir :
Beneath The Machine :
Zeppo :
samedi, juin 02, 2007
"Ich brauche keine Hilfe"
Passez un bon Moment avec Tobias, Ich Will Spielen !
jeudi, mai 31, 2007
Le Schwarz
Outre cet appel, je dois revenir aux énervements du Schwarz. Ses crises de Schwarzerie se font ressentir lorsque vous passez délicatement votre main sur la roulure du Schwarz, comme si vous torchiez le cul d'un gosse et là, le Schwarz, il aime pas, surtout dès le matin ! Il commence par de grands gestes brusques, parfois mêmes éféminés il faut bien le dire mais si vous savez manipuler et dresser le Schwarz, si vous avez aquis de l'expérience dans le Schwarz et que vous connaissez comme moi parfaitement les Schwarzkopf, alors ceux-ci ne constitueront pas une menace majeure a votre survie. Mais attention on ne sait jamais et l'on est jamais trop prudent, méfiez-vous tout de même, surtout si vous êtes un novice dans l'étude du Schwarz, méfiez-vous si vous avez la joie de vous retrouver nez-à-nez avec un Schwarzkopf, son comportement et son tempérament imprévisible peut en faire une vraie machine de guerre, si vous n'êtes donc pas expérimenté.
Ênfin pour reconnaître un Schwarz, c'est très simple, comme le STG, il se caractérise par une ignardise affligeante et par le port d'un saccoche d'autiste portée en bandoulière. Il y met tout un tas de conneries que tout Schwarz qui se respecte se doit de porter sur lui. Mais je préfère vous avertir, ne vous faîtes pas de fausses illusions et ne vous voilez pas la face, nous avons recensé qu'une dizaine de Schwarz de variété différente dans la totalité de notre territoire, c'est dire le peu de chance que vous avez d'en rencontrer un mais sait-on jamais, la chance sourit aux audacieux, si vous avez le courage de chercher, peut-être aurez vous le privilège d'en adopter un pas tros farouche et casanier (dédicace, il se reconnaitra !). Si c'est le cas, vous pouvez vous en féliciter, vous serez propriétaire d'une chose sublime, du meilleur goût mais de grâce, ne lui faites pas subir un traitement nuisible a sa santé, ne soyez pas chien avec lui et ne faites pas vos squin avec, il ne supporte que très peu les régimes draconniens dont il a été victimes ces dernières décénies, au Cambodge sous la dictature Khmers. Cette sombre page de l'Histoire s'est tournée et je ne souhaite en aucun cas qu'elle refasse surface.
Mon étude est à présent terminée, vous savez tout (enfin je le pense en tout cas) sur les Schwarz, bien entendu si vous avez des questions, je me ferais une joie d'y répondre par commentaire !
Cf: La prolifération du Schwarz dans notre société par Le Soupard, aux éditions Albin Migueule.
lundi, mai 28, 2007
Laveur de vitres, ça ne s'improvise pas !
Jacky du Nord
Sa conjointe n'est pas a plaindre parce que pour rester avec un beauf et un connard pareil qui ne s'occupe que de sa gueule, il faut vraiment le vouloir et être bien tâche !
Enfin bon, l'ignorance de ce couple est telle que l'on a quelque fois besoin de sous-titres pour comprendre ce qu'ils disent ! Remarquez c'est comme pour Rodolphe, on se fend pas mal la gueule avec ces cons-là, d'autant plus que l'on peut voir plusieurs fois apparaître Pierre Angelique avec une coupe de cheveux qui laisse à désirer, puis avec une gueule qui en dit long sur ses capacités intellectuelles ! Je suis peut-être dur mais c'est la réalité ! Vraiment affligeant... enfin bon divertissement tout de même :
Rodolphe
" Bonjour jmappelle Rodolphe, j'ai 18 ans et je suis atteind du Syndrôme de Gilles de la Tourette"
MDR ! Pauvre gars, il est super fendar malgré lui ! c'est super, un vrai timbré et il a le culot de dire "qu'heureusement il y a les médecins pour m'aider sinon je serais un vrai taré" bah putain qu'est-ce que ce serait sans médecins alors !!!! "A part ça, je suis tout à fait normal, j'ai rien niveau mental" et oh déconne pas Rodolphe là, on veut bien croire en ta bonne foi mais faudrait pas pousser le bouchon trop loin non plus, on est désolé de te dire ça mais ça reste encore à prouver que tu n'as rien niveau mental, la preuve tu te fous des trempes dans la tronche, à cause de ça tu es obligé de porter des gants et "plus ça te fait mal , plus tu t'en met", il est sado en plus ce con-là ! Alors désolé de douter de toi mais on voit bien que y'a quand même quelque chose qui tourne pas rond chez le Rodolphe !
En tout cas moi j'adore son père, il lui dresse le cul parce que le Rodolphe il en a bien besoin. Non mais attendez, vous vous imaginez vous avec un zouave pareil, un cinglé profond dans votre baraque ? Moi non, bien que cela ne soit pas de sa faute.
Bon visionnage, le Rodolphe est à consommer sans modération ! Et dépêchez-vous, ça refroidit vite la Tourette !
Trivium
Like Lights To The Flies:
Pull Harder On the Strings Of Your Martyr:
A Gunshot To The Head Of Trepidation:
Dying In Your Arms:
dimanche, mai 27, 2007
Cannibal Corpse
Créé en 1988 à Buffalo par Chris Barnes au chant, Bob Rusay et Jack Owen aux guitares , Alex Webster à la basse et Paul Mazurkiewicz derrière la batterie, Cannibal Corpse se fait rapidement une réputation de gros graisseux dans le milieu du sourd. "Si le vomi était un film, ce serait la bande sonore" déclare un journal en parlant du groupe. C'est dans cette ambiance festive et réjouissante à souhait que le groupe enregistre une première démo qui leur permet de décrocher un contrat avec Metal Blade Records dès 1989. En 1990 sort leur premier album : Eaten Back to Life. Le groupe continue sa boucherie en sortant Butchered at Birth en 1991 puis Tomb of the Mutilated (très bonne rondelle d'ailleurs) en 1992.
Le guitariste Bob Rusay se fait licencier en 1993 et c'est Rob Barrett (ex-Malevolent Creation) qui prend sa place. Cannibal Corpse font alors une tite pauuuse là tsé, avec Jim carey dans Ace Ventura: Pet Detective (Traduc' pour les STG : Détective pour animaux de compagnie en gros). En 1994 la nouvelle galette The Bleeding voit le jour. Relativement plus accessible, c'est le premier album enregistré avec Barrett et le dernier avec Barnes.L'ex chanteur de Monstrosity, George "Corpsegrinder" Fisher, prend la relève, Barrett quitte à son tour la formation en 1997 (remplacé par Pat O'Brien) en 1996 sort Vile et en 1998, Gallery of Suicide (alors là il est fort probable que vous finissiez sous assistance respiratoire après cet album) est dans les bacs.
L'année suivante c'est au tour de Bloodthirst de faire son apparition. Pour fêter l'an 2000, nos cinq huîtres publient un live (cd/cassette) nommé ni plus ni moins, Live Cannibalism (déjà avec le titre on est fixé, ça annonce la couleur !). En 2002 Cannibal Corpse dévoile son nouvel album : Gore Obsessed (super également). Deux ans passent et c'est au tour de The Wretched Spawn d'être publié, suivit de Kill en 2006.
Line-up : - George Corpsegrinder Fisher (chant)
- Pat O'Brien (guitare)
- Jack Owen (guitare)
- Alex Webster (basse)
- Paul Mazurkiewicz (batterie)
Discogragueule :
Eaten Back To Like (1990)
Tomb Of The Mutilated (1992)
The Bleeding (1994)
Vile (1996)
Gallery Of Suicide (1998)
Gore Obsessed (2002)
Vous aurez sans doutes remarqué le goût et le style très particuliers des Art-works (la pochette quoi) des albums de Cannibal Corpse et le titre des mêmes albums qui en disent long sur le genre de boucherie que livre le groupe à chaque Cd. Mais bon je comprend que l'on apprécie pas ce groupe parce que c'est quand même une musique très spéciale !
Le mythique Marteau Dans La Gueule, Hammer Smashed Face :
Sentenced To Burn (jladore celle-là) :
Addicted To Vaginal Skin :
Make Them Suffer (ptite pensée pour guillaume qui n'aime pas (elle est pourtant géniale mais bon) mais qui a quand même cette chanson sur son ordi !) :
Y'a "Fucked With A Knife" qui est pas mal aussi.
Blog à Jamord
Il est pas beau et fendar mon Jamord ?
samedi, février 10, 2007
Le site, enfin !!!
Le site officiel des Roubignolles c'est ici : http://les-roubidingues.ifrance.com/.
Gloire à Chris !
Un hommage s’impose donc de toutes évidences à ce monstre de classe et de croon (?) c’est pour cela que je vous présente une petite biographie de Chris Isaak mon idole parmi tant d’autres :
Chris Isaak est né le 26 juin 1956 à Stockton, en Californie. Après ses études universitaires, le jeune homme devient un temps boxeur, puis surfeur, avant de fonder le groupe Silvertone avec le batteur Kenney Dale Johnson et le bassiste Rowland Salley. Silvertone écume tous les clubs et bars de San Fransisco, et finit par signer un contrat avec Warner Bros. Chris et sa bande sortent alors un premier disque, « Silvertone », en 1985. Fan d’Elvis et de Roy Orbison, Chris Isaak s'inspire de ses idoles en jouant avec brio au crooner, et en excellant dans la ballade rockabilly. Mais les premiers titres du chanteur ne vont pas tout de suite enflammer les foules en Amérique. C’est d’abord en France que Chris Isaak sera plébiscité par la critique comme par le public, grâce à un second album éponyme, dont le titre « Blue Hotel » (ouééééééééééééééééééééééééééééééééé) campe en tête des charts hexagonaux pendant l’année 1987 (ahhhh les français ont tout de même bon goût !).
Silvertone (1985)
Chris Isaak (1987)
Heart Shaped World (1989)
Wicked Game - Best Of (1991)
San Fransisco Days (1993)
Forever Blue (hotel ! oui je sais c'était pourri) (1995)
Baja Sessions (1996)
Speak Of The Devil (1998)
Always Got Tonight (2002)
Christmas (2004)
Best Of (2006)
Des heures d'écoute paradisiaques !
Blue Hotel, L'hymne Chris Isaakienne :
Je dédicace cet article à Guillaume et Jérémy, fans acharnés tout comme moi du beau Chris Isaak et qui ont eu la bonté de me faire découvir l'un des plus grands artistes de ce monde. Sans eux, je serai passé à côté d'un véritable mythe !
Iron Maiden
Alors qu'à la fin des années 1970 le hard rock commence à tourner en rond, Iron Maiden débarque de leur Angleterre natale et va relancer le mouvement ni plus, ni moins relancer le mouvement.Formé à Londres en 1976 par le bassiste Steve Harris, le groupe commence à écumer les clubs d'Angleterre et finit par se bâtir une réputation. Après quelques changements de line-up, c'est avec Harris à la basse, Dave Murray et Dennis Stratton à la guitare, Cilve Burr à la batterie et Paul Di'Anno au chant que le groupe sort son premier album éponyme.
Pour son second effort, Killers, le groupe bénéficie d'une meilleure production et voit le remplacement de Stratton par Adrian Smith.
Mais c'est véritablement avec The Number Of The Beast et l'arrivée de Bruce Dickinson (auparavant dans Samson) au chant, que le groupe franchit un palier : les titres The Number Of The Beast, Run To The Hills ou encore Hallowed Be Thy Name (l’une de mes préférées) sont de véritables hits et la mascotte Eddie (eulaaa) est reconnue de tous. Piece Of Mind en 1983 confirmera le nouveau statut de Maiden et se classera numéro 3 des ventes en Angleterre. Le groupe subit alors un nouveau changement de line-up puisque le batteur Clive Burr cède sa place à Nicko McBrain, qui a notamment joué avec les français de Trust.
Les Anglais enchaînent les tournées puis se remettent au travail pour ce qui sera Powerslave. Celui-ci comporte notamment Aces High, Two Minutes To Midnight et sera suivi d'une tournée mondiale spectaculaire qui sera immortalisée par le mythique (ça y est, les grands mots !) Live After Death.
De retour de cette épuisante tournée, le groupe se retrouve en chien: d'un coté ils ont réussi à conquérir le monde et sont devenus une référence indiscutable du genre mais de l'autre, des critiques de plus en plus nombreuses leur reprochent de ressortir inlassablement la même formule depuis trois albums. La Vierge De Fer répond aux critiques par deux albums plus mélodiques et utilisant pour la première fois un synthé : Somewhere In Time en 1986 puis 2 années plus tard Seventh Son Of A Seventh Son un concept qui offrira au groupe son second album classé numéro 1 en Angleterre. Comme à son habitude, le groupe tournera intensément pour promouvoir ces deux albums, ce qui le conduit à s'offrir enfin un vrai break. Les rumeurs de séparation se multiplient, d'autant plus que Dickinson s'offre une escapade en solo. Que nenni (eulaaa) : Steve Harris, le cerveau du groupe, reprend les choses en main et annonce un album en forme de retour aux sources. Ceci n'est pas du goût d'Adrian Smith qui quitte le groupe et est remplacé par Janick Gers. No Prayer For The Dying sort en 1990 et le single Bring Your Daughter To The Slaughter apportera au combo son premier single numéro 1. Cependant, Dickinson commence à se lasser et aimerait se consacrer à sa carrière solo. Il enregistre néanmoins Fear Of The Dark et assure la tournée qui suivra avant de se retirer. Deux albums live sortiront simultanément : A Real Live One centré sur les singles récents du groupe et Live At Donington comportant les morceaux les plus classiques du groupe.
Mais Dickinson est vénéré par les fans du groupe et le remplacer ne sera pas une mince affaire. Les auditions vont s'enchaîner et c'est finalement Blaze Bailey du groupe Wolfsbane qui sera choisi. Celui-ci enregistrera deux albums avec le groupe : X-Factor en 1995 et Virtual XI en 1998.
Iron Maiden est alors à nouveau en chien et rebondit en annonçant en 1999 le retour de Bruce Dickinson au chant et d'Adrian Smith à la guitare, le groupe comptant désormais trois guitaristes !!!. Le pari est réussi : les fans se pressent à nouveau dans les stades pour voir jouer le groupe dans sa formation classique. De nombreuses compilations et autres live sont alors sorties par la maison de disques. C'est sous la forme d'un sextet que le groupe sort désormais ses albums studio, tous biens accueillis par la presse : Brave New World en 2000, Dance Of Death (en 2003) et A Matter Of Life And Death (en 2006).
Killers (1981)
The Number Of The Beast (1982)
Piece Of Mind (1983)
Powerslave (1984)
Live After Death (1985)
Somewhere In Time (1986)
Seventh Son Of A Seventh Son (1988)
No Prayer For The Dying (1990)
Fear Of The Dark (1992)
A Real Live Dead One (1993)
Live At Donington (1993)
The X Factor (1995)
The Best Of The Beast (1996)
Virtual XI (1998)
Ed Hunter (1999)
Brave New World (2000)
Rock In Rio (2002)
Edward The Great (2002)
Beast Over Hammersmith (2002)
The BBC Archives (2002)
Beast Of The B-Sides (2004)
Dance Of Death (2003)
Death On The Road (2005)
A Matter Of Life And Death (2006)
La mascotte Eddie
Rainmaker :
The Trooper :
Run To The Hills :
vendredi, février 09, 2007
Metallica
Bon alors là c'est même plus la peine de discuter, on trouve difficilement meilleurs, tous les quatre sont super bons, Metallica est un groupe de référence, tout comme Slayer, dans le domaine du métal.
Avec Robert Trujillo, le nouveau bassiste
Formation:
James Hetfield:chant+guitare
Kirk Hammett:guitare
Robert Trujillo:basse
Lars Ulrich:batterie
Enter Sandman :
St Anger :
Fade To Black :
Creeping Death :
samedi, juillet 01, 2006
Photos de Soulfly
Voilà quelques photos (malheureusement que du chanteur) du concert des soupards Soulfly précédé en première partie du groupe local et donc de Caen, Headcharger, concert du 7 juin au Big Band Café. C'était bien torchard, ce qui est pas étonnant quand on connait la réputation du gros Max Cavalera, gueulard émérite, chanteur de Soulfly. Le groupe local Headcharger (ex-Doggystyle, et dernièrement signés par le collectif Coriace) se charge d'ouvrir la soirée. Arrivés un peu trop tard, on ne verra que les derniers morceaux, cependant le public a eu l'air d'apprécier malgré quelques réticents/impatients.
Entre les balances et le changement de matos les premiers rangs scandent le nom du sir Cavalera, et l'euphorie atteindra bientôt toute la salle quand tout le groupe entre sur scène avec "Babylon". On remarquera d'ailleurs que Bobby Burns (basse) a laissé sa crête au profit d'une coupe style IIIème reich...! Le groupe joue pour le plaisir des fans de la première heure des titres trop peu joués sur les dernières tournées comme "No Hope= No Fear" et surtout "Policia" de Sepultura ! Malheureusement ce sera tout niveau vieilleries à part les habituels "Refuse/Resist" et "Roots Bloody Roots", Soulfly vient ici promouvoir le dernier album "Dark Ages" qui renoue avec le thrash et devient par la même occasion un des meilleurs (si ce n'est le meilleur) albums du groupe depuis l'éponyme sorti en 98. L'atout majeur étant sûrement Marc Rizzo (guitare) qui maîtrise parfaitement son instrument et offre un véritable plus techniquement avec de splendides solos qui virent parfois au flamenco. Le rythme tout du long du concert est soutenu grâce à de nombreux medley regroupant tous les albums confondus, et Max se permet d'inviter son beau-fils Ritchie pour un "Bleed" suivi de "Tree Of Pain" efficace. Le fiston a beaucoup plus de liberté qu'auparavant et se lâche complètement malgré qu'il ne braille pas aussi puissamment que son beau-père mais ça viendra car il a déjà plus de voix que sur les tournées précédentes ! Les nouveaux morceaux semblent avoir pris leur place en étant fidèles à l'album, c'est à dire agressif. Les fans ont l'air d'avoir suffisamment digérés l'album puisque tout le monde connaît les morceaux. Ajoutez à cela des titres phares du groupes tels que "Seek n' Strike", "Back To The Primitive" et l'inévitable "Eye For An Eye" en final et tout le monde sort content ! Encore un très bon concert du groupe qu'on aura eu la chance de voir dans une salle aussi petite que le Big Band Café !
Je précise, ce résumer du concert n'est pas de moi.
Headcharger, très bons en concert.